Entre l’intime et le social. Vigiles essentielles, les artistes ne cessent d’interroger le monde qui les entoure. Plusieurs chorégraphes de cette première demi-saison au Wilder passent à la loupe les conventions sociales – celles d’un repas familial, celles qui régissent notre appartenance collective ou qui embrigadent le corps. Mais le simple geste de partage de la danse et sa poésie sensorielle nous rappelle qu’il faut encore rêver.

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