Les espaces réunis sont ceux de la peinture et de la photographie, mécanismes qui marquent la pratique de Richard-Max Tremblay depuis plus de trente ans. L’avènement de la photographie numérique a généré des avatars éphémères qui n’existaient pas dans le passé. Des propriétés et des caractéristiques nouvelles ont investi la photographie tout autant que des aberrations et des anomalies inédites. Les tableaux présentés maintenant à l’Agora de la danse rendent compte de préoccupations, quant à l’histoire de l’art, la littérature, la philosophie et la vie, qui se présentent à nous tous les jours. En se servant des mécanismes de représentation de ces espaces réunis de la photographie et de la peinture, l’artiste s’inscrit dans une tradition tout en empruntant des chemins de traverse.
Exposition
23 janvier au 22 février
2013
L’Agora de la danse remercie Mona Hakim pour sa précieuse collaboration.