Avec ce solo coup de poing entre l’installation et la sculpture vivante, la jeune Daina Ashbee poursuit sa recherche sur l’image du corps de la femme contemporaine.
Sacrée meilleure œuvre chorégraphique de l’année aux Prix de la danse de Montréal 2016, cette œuvre se présente comme une sculpture vivante, une installation performative. En travaillant une gestuelle enracinée dans le bassin de sa performeuse, Daina Ashbee poursuit sa recherche et son désir de mieux comprendre la sexualité et l’image du corps de la femme contemporaine.
Meilleure œuvre chorégraphique (CALQ) + Artiste – Prix découverte (Agora de la danse/Tangente), Prix de la danse de Montréal, 2016.
Résidence de création MAI (Montréal Arts, interculturels).