Après le succès de son dernier spectacle, La danseuse malade, Jocelyne Montpetit inaugure un nouveau cycle de création : Les Élégies. Seule sur scène, portée par son approche singulière du butô, elle nous entraîne dans la mélancolie de son univers et partage les questionnements qui la traversent. La force évocatrice de sa danse trouve ici son inspiration dans le premier vers du poème « The Waste Land » de T.S. Eliot : Avril est le mois le plus cruel. Toute en intensité et en retenue, telle une tempête sourde, Jocelyne Montpetit met en branle l’imaginaire, happe le spectateur dans son paysage intérieur. Accompagnée de Sonoyo Nishikawa qui signe la mise en lumière, elle compose ce phrasé si distinctif, qu’elle a su parfaire au fil des années et qui lui donne cette place à part, unique, dans le monde de la danse d’aujourd’hui.
Jocelyne Montpetit Danse
14-15-16 et 21-22-23 septembre 20 h
2011
En coproduction avec l’Agora de la danse